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Toutes les religions ne sont pas égales, mais tous les hommes sont égaux devant Dieu

Jésus à Vassula - La Vraie Vie en Dieu

Dans la littérature sur Medjugorje, il est rapporté que notre sainte Mère a dit aux voyants que la personne la plus sainte de la paroisse est une musulmane nommée Pacha. Les voyants ont répondu: «Mais Pacha est musulmane», ce que Marie a reconnu. Cette révélation de la Reine de la Paix a, bien sûr, frappé tous ceux qui suivent les messages de Medjugorje.

Eclaircissements pour mieux comprendre les dialogues interreligieux

Essayons de comprendre pourquoi la Madone a choisi d’en parler. Quel était le but de la Madone en nous faisant une telle révélation? A-t-elle voulu nous enseigner que, comme notre jugement n’est pas celui de Dieu – qui connaît le cœur de chacun –, nous ne sommes pas censés juger les gens selon les apparences, ou par ouï-dire, ou selon leur religion? Cela signifierait-t-il que Dieu serait injuste? Jamais! N’a-t-il pas dit à Moïse: «Je fais grâce à qui je veux, je montre ma tendresse à qui je veux.»? (Ex 33,19) Nous ne devons jamais oublier que dans les Ecritures, saint Paul nous conseille en Rm 14,10: «Alors toi, pourquoi juger ton frère? Toi, pourquoi mépriser ton frère? Tous, en effet, nous comparaîtrons devant le tribunal de Dieu.» Souvenons-nous donc de ce qui est écrit dans Isaïe 55,8-9, où Dieu dit: «Mes pensées ne sont pas vos pensées et vos chemins ne sont pas mes chemins, – oracle du Seigneur. Autant le ciel est élevé au-dessus de la terre, autant mes chemins sont élevés au-dessus de vos chemins, et mes pensées, au-dessus de vos pensées.» Dieu juge non selon la religion, mais selon la morale et les vertus contenues dans le cœur de la personne. Le cœur de cette femme est-il pur, semblable à celui d’un enfant? Aime-t-elle Dieu et tous ceux qu’elle côtoie? Permettez-moi également de vous rappeler ce que Jésus nous a dit dans les messages de La Vraie Vie en Dieu: «J’avais dit, jadis, que chacun, au Jour du Jugement, sera jugé selon la mesure de l’amour qu’il aura eu tandis qu’il était sur la terre.» (5 août 2000)
Bien sûr, il y eut des doutes de la part de chrétiens qui se demandaient si ce message de Medjugorje venait vraiment de notre sainte Mère, parce que là encore, lorsque le Ciel expose la manière dont Dieu juge – qui est complètement différente de la nôtre –, notre orgueil et nos préjugés enracinés à l’égard d’autrui ne s’effacent pas facilement. Nous préférons douter de ce que Jésus ou notre sainte Mère disent dans leurs messages plutôt que de les accepter, leur faire confiance et croire en la Justice de Dieu.
Examinons également un autre message de la Reine de la Paix quand elle a expliqué aux voyants de Medjugorje que Dieu est le Dieu de tous et que c’est l’homme qui a introduit les divisions. C’est ce qu’a exprimé la Vierge Marie lorsqu’elle «a souligné les défauts des religieux, en particulier dans les petits villages, par exemple ici à Medjugorje, où règne une séparation des orthodoxes serbes et des musulmans», a dit la voyante Mirjana Dragicevic Soldo. «Cette séparation n’est pas bonne. La Madone a toujours souligné qu’il n’y a qu’un seul Dieu et que ce sont les gens qui ont imposé une séparation contre nature. On ne peut pas vraiment croire être un vrai chrétien, si on ne respecte pas aussi les autres religions.» (Daniel Maria Klimek, Medjugorje and the Supernatural: Science, Mysticism, and Extraordinary Religious Experience, Oxford University Press, 2018, p. 41.)
Nous tous sur cette planète appartenons tous à Dieu et sommes les enfants de Dieu. Une autre voyante, Vicka, a expliqué un jour la façon dont la Madone lui a fait comprendre notre création. Elle a dit: «Rien n’est une coïncidence. Tout est un projet de Dieu. Avant que Dieu ait fait ce monde, il a planifié chacun de nous. La sainte Mère m’a dit qu’il nous connaissait déjà. Il nous a appelés par notre nom avant même de créer le monde. Chacun de nous est totalement connu et aimé par Dieu avant même d’être placé dans le sein de sa mère. Il a choisi le siècle dans lequel nous sommes nés: notre nationalité, notre famille, notre sexe, nos forces et nos faiblesses. Tout ce que nous sommes et avons sont des dons de Dieu.»

https://www.medjugorje.com/medjugorje-today/medjugorje-headlines/tragedy-of-realization.html

Et dans un autre passage, notre Sainte Mère a révélé aux voyants de Medjugorje: «Dites à ce prêtre, dites à tous que c’est vous qui êtes divisés sur la terre. Les musulmans et les orthodoxes, pour la même raison que les catholiques, sont égaux devant mon Fils et moi. Vous êtes tous mes enfants. Certes, toutes les religions ne sont pas égales, mais tous les hommes sont égaux devant Dieu… Ceux qui ne sont pas catholiques ne sont pas moins des créatures faites à l’image de Dieu, et destinées à rejoindre un jour la Maison du Père.» (The Final Harvest, Wayne Weible, pages 85-86).
Il est essentiel de comprendre cette différence. Notre Dame de la Paix nous dit que, certes, toutes les religions ne sont pas égales, mais tous les hommes sont égaux devant Dieu. Les doctrines et les âmes ne sont pas la même chose, donc nous ne devons jamais confondre ces deux aspects. Ci-dessous, voici un entretien entre le Père Svetozar Kraljevic (SK) et la voyante Ivanka Ivankovic (Iv) en février 1983: (Père Michael O’Carroll, Medjugorje: Facts, Documents, Theology, p. 254)
SK: Il est important que les gens de bonne foi, quelle que soit leur confession, ne soient pas tournés les uns contre les autres. Mais dites-m’en plus à ce sujet. Qu’a dit la Madone à ce propos?
Iv: La Madone a dit que, sur la terre, les religions sont séparées, mais les gens de toutes les religions sont acceptées par son Fils.
Est-ce que cela signifie que tous vont au ciel?
Cela dépend de ce qu’ils méritent.
Oui, mais beaucoup n’ont jamais entendu parler de Jésus.
Jésus sait tout cela; pas moi. La Madone a dit, essentiellement, les gens des différentes religions sont semblables; mais beaucoup se sont séparés les uns des autres à cause de leur religion et sont devenus ennemis les uns des autres.
Je vous remercie, Ivanka, pour ce témoignage!
Donc maintenant nous savons – et nous aurions dû savoir – que rien n’échappe à Dieu et que rien ne se produit par hasard. Nous devrions cesser de questionner Dieu! Il n’y a pas de coïncidence avec Dieu. Dieu nous connaît depuis avant notre naissance. Il savait tout de nous. Comme il l’a dit dans les messages de La Vraie Vie en Dieu: «Je te connaissais avant ta naissance.» Parfois, nous avons tendance à prendre cette phrase symboliquement, en essayant de l’interpréter de différentes façons, mais nous ne devrions pas. En effet, Dieu nous connaît vraiment depuis avant notre naissance. «S’il est quelque point sur lequel vous voyez les choses différemment, affirme saint Paul, Dieu vous éclairera à ce propos; en attendant, du point où nous en sommes, poursuivons la route dans la même direction.» (Ph 3,15-16).

Mission de Vassula

Je suis née un 18 janvier, comme la plupart le savent maintenant. Cette date que Dieu a choisie pour ma naissance est significative pour la mission apostolique qu’il entendait me confier depuis avant le commencement du monde: appeler toutes les Eglises à se réconcilier et à s’unir dans leur diversité. Le 18 janvier est le premier jour de l’octave de prière universelle pour l’unité de l’Eglise. A l’époque où je suis née, cette date était également la fête de la Chaire de saint Pierre.
Dans la basilique Saint-Pierre, à Rome, est pieusement conservée la vénérable relique de la chaise de saint Pierre, un vieux siège en bois, datant du premier siècle, que le sénateur romain Pudens, converti par l’apôtre Pierre, lui avait offert et où saint Pierre s’asseyait habituellement pour enseigner durant son séjour à Rome jusqu’à son martyre. Plus tard, la vénérable chaise est devenue le symbole de l’autorité papale – son Saint-Siège – et a ensuite été utilisée par plusieurs de ses successeurs. En 1653, sur ordre du pape Alexandre VII, le vénérable siège, recouvert d’une chape-reliquaire en bronze réalisée par Gian Lorenzo Bernini dit le Bernin, est exposé en haut tout au fond de l’abside de la basilique Saint-Pierre de Rome.
Bien que je sois née dans une famille orthodoxe grecque et qu’ainsi je sois orthodoxe, le Seigneur a insufflé en moi, par le Saint-Esprit, le désir de prendre la défense de la Chaire de Pierre. Nous savons que l’Esprit vient nous aider dans notre faiblesse et, pour sûr, je n’aurais pas pu être plus faible que je ne l’étais lors de l’appel de Dieu, car je n’étais assurément même pas capable de comprendre qu’un jour je serais choisie pour obéir à cet appel à l’unité et à être envoyée dans de nombreuses nations pour les appeler à la prière, au repentir, à la réconciliation, la paix et l’unité.
Bien sûr, lorsque je défends le Pape et sa Chaire contre ceux qui maintenant même essaient furieusement de déraciner le pape François, je suis considérée par certains de mes frères orthodoxes comme un traître, un Judas. Mais ma conscience, en union avec le Saint-Esprit, m’assure que nous devons rester fidèles à ce Pape. Et même, lorsque Jésus n’était pas content que des chrétiens jugent le Pape et qu’il m’avait donné un message à leur adresser, ceux qui avaient déjà une opinion négative sur ce Pape ne croyaient pas que ce message venait du Christ! Certains se sont même moqués de moi, parce que non seulement je suis orthodoxe et je défends la Chaire de Pierre et le Pape lui-même, mais, ironiquement, je suis persécutée par les personnes-mêmes qui entourent cette Chaire! Je n’ai donc aucun intérêt à défendre cette Chaire de Pierre et le Pape, mais le Saint-Esprit me pousse à le faire urgemment. Néanmoins, Dieu savait depuis le début que cela arriverait et il m’avait parlé de telles persécutions dès le début de mon appel. C’est de là que vient ma force: étant consciente que Dieu est de mon côté, je n’ai pas peur. Je n’hésite pas, car il contrôle tout!
Selon le plan de Dieu, à côté de notre date de naissance, même le nom de baptême que nous portons est important. Mon nom «Vassiliki», signifie «fille du roi» ou «royale» (en français «Régine»). Mon deuxième nom, «Paraskevi» (en français «Parascève», qui signifie «préparation»), a également le sens symbolique de «préparer la voie au Seigneur». En effet, en grec, «paraskevi» signifie «vendredi», sixième jour de la semaine. Le vendredi est le jour précédant le samedi; c’est donc le jour de la préparation au Sabbat, septième jour, Jour du Seigneur. Avec l’aide du Saint-Esprit, qui dit que le retour de Jésus est imminent, j’ai préparé le chemin vers le Seigneur en diffusant ses messages dans le monde entier, en appelant les gens à la repentance et à la conversio­n, en les appelant à faire de leur vie une prière incessante; en appelant les Eglises à se réconcilier, en leur disant que ce sont les derniers jours de miséricorde et de grâce de notre Dieu. Ils doivent être préparés, ils doivent prier, ils doivent se réconcilier alors que nous sommes au bord de ces événements dramatiques qui ont été prédits!
J’ai témoigné de mes expériences spirituelles au moment où Dieu le Père m’a abordée pour la première fois et m’a parlé. Alors qu’il parlait, c’était comme si je le connaissais! Comme si je l’avais rencontré auparavant. Et, de plus, il me faisait me sentir en sécurité et que j’étais à la maison, non pas à la maison sur terre, mais à la maison au ciel. Soudain, mon père terrestre ne comptait plus comme auparavant, car lui aussi était un instrument pour que je puisse naître. La conscience que j’avais de cela n’était pas seulement un simple sentiment en moi, mais une certitude! Je savais à l’intérieur de moi-même sans le moindre doute que Dieu est mon vrai Père et personne d’autre, que j’étais «l’os de son os et la chair de sa chair». C’est pourquoi les paroles du Christ incitant à appeler notre Créateur «Abba» sont si importantes et si vraies! Mais les avons-nous seulement pleinement pénétrées et bien comprises? Je savais, en ces moments de félicité, que j’appartenais à Dieu, que je venais de lui, que j’étais sa postérité et que j’étais sienne.
En outre, ce qui était impressionnant c’était sa simplicité et sa façon paternelle de me parler. Sa tendresse était si naturelle et si réconfortante qu’elle me remplissait de chaleur et de sécurité en sa présence. Ces quelques minutes où il m’a parlé sont à jamais précieuses dans ma mémoire, car elles sont inoubliables. Sa présence et sa façon de parler avec moi étaient comme si ce n’était pas la première fois que j’entendais le son de sa Voix, comme si je l’avais déjà entendue. Sa voix était si familière que je me sentais proche de lui. A ce moment-là, on ressent cette paix, cette sécurité et cette liberté que nous devrions ressentir lorsque nous lui parlons, sans peur, sachant que nous ne serons pas mal compris, car il est là pour écouter son enfant avec joie. Cette expérience spirituelle de Dieu le Père – expérience que je n’ai pas méritée – m’a fait prendre conscience que je voudrais être pour toujours avec lui, parce que je savais sans la moindre trace de doute que je descendais de lui et qu’il est mon vrai Père! Nous descendons donc tous de lui. Il est Amour infini. Comme il me l’a dit dans La Vraie Vie en Dieu, il aime chacun de la même façon, peu importe qui il est ou dans quel pays il est né. Il ne porte aucune hostilité en lui, aucune trace de préjugé, aucune trace d’obscurité, car il est la pure Lumière. Alors, de quel droit serions-nous hostiles envers ceux qui ont hérité d’autres croyances que les chrétiens? Qui sommes-nous pour juger? Sommes-nous devenus si prétentieux et si sûrs de notre droiture qu’en gardant nos distances avec ceux qui pratiquent d’autres religions, nous faisons le bien et que cela est agréable à Dieu? Saint Paul nous rappelle en Rm 2,1 «Toi, l’homme qui juge, tu n’as aucune excuse, qui que tu sois: quand tu juges les autres, tu te condamnes toi-même, car tu fais comme eux, toi qui juges.»
Si nous vivons avec des préjugés, nous devons en être guéris. L’Esprit du Seigneur ouvre le chemin constamment et avec force et nous attire à nous réconcilier et à faire la paix avec chacun. Et surtout, Jésus veut que nous montrions son amour à travers nous, à travers notre acceptation de les considérer également comme des enfants de Dieu et que nous les aimions comme Dieu les aime. Notre sainte Mère l’a souligné dans beaucoup de ses messages aux voyants de Medjugorje, qui sont une leçon pour nous tous.

A suivre
Vassula