Mon compte


Créer un compte

Newsletter

Pour être informé des nouveautés - des offres spéciales - des promotions, inscrivez-vous à notre lettre d'information!

 

 

Facebook

Retrouvez les Editions du Parvis
sur facebook!

Des nouveautés,
des prières de la semaine,
des infos, etc.

Zita

Zita

Zita

Portrait intime d’une impératrice

160 pages - 13,5x20 cm - 2013

Article n° F9918 - poids 210 g
Editions du Cerf - ISBN 9782204100854
14.90 €
Disponible
Zita

Zita (1892-1989) fut aux côtés de son mari le Bienheureux empereur Charles (1887-1922) la dernière souveraine d’Autriche-Hongrie entre 1916 et 1918. La cause de la béatification de l'lmpératrice fut introduite en 2009. Rédigé par le postulateur de la cause, à partir d’archives tout à fait inédites, ce livre laisse parler au travers de ses lettres la Servante de Dieu comme on ne l’a jamais connue. Bien que très discrète sur sa vie intérieure, elle parlait aussi d’abondance de cœur à quelques rares personnes avec lesquelles elle noua une amitié spirituelle entre ces années 1916 à 1926, années cruciales : du règne à l’exil, du mariage au veuvage. Parmi ces guides pour discerner la volonté divine, figurent deux âmes privilégiées : Sœur Marie-Hilaire Tonnelier, religieuse converse de Notre-Dame de Sion (1865-1952) et Mère Virginia Brites da Paixâo, moniale Clarisse (1860-1929). Elles accompagnèrent Zita dans la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus et au Cœur Immaculé de Marie et l’abandon à la Divine Providence qui veillait toujours malgré les tribulations. Durant ces années, deux lieux l’ont plus particulièrement marquée spirituellement. Résidant au pays basque espagnol à Lekeitio, elle connut le Christ de Limpias, ce crucifix qui revivait la Passion depuis 1919. Les Hongrois y voyaient le symbole des souffrances de la couronne de S. Étienne après le traité de Trianon et visitaient leur Reine Zita entre Limpias et Lourdes. Enfin, l’Impératrice chercha à se rapprocher un peu plus encore de ses sœurs moniales à Solesmes. Elle devint oblate de l’abbaye St. Pierre en 1926. La grande abbaye bénédictine devint son point fixe spirituel, au milieu des errances d’une vie d’exil qui ne faisait que commencer.