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Devant mes yeux…

C’était un après midi, il y a longtemps…

Son image inattendue dans mes yeux, pour la première fois.
Instants de silence… Il était tout silence.
Ses yeux… indescriptibles… pour la première fois… son sourire, indescriptible, pour la première fois, sa voix... sa voix dans mon cœur, pour la première fois!
«Veux-tu, Mirella, témoigner de moi dans le monde? Veux-tu Mirella, témoigner de la vie après la vie dans le monde?»
Jésus me parlait! Jésus me demandait!
Et moi, surprise, je n’ai pas répondu tout de suite, j’ai réfléchi. J’ai réfléchi un instant... mais après cet instant de réflexion, en cet instant de réflexion, j’ai compris.
Oui. Oui, Seigneur, je ferais ce que tu me demandes et j’irais là où tu veux que j’aille.
Chers amis, tant d’années sont passées depuis ce moment inoubliable. J’ai fais et je continue de faire, du mieux que je peux, ce que Jésus m’a demandé et ce qu’il me demande.
Au cours de ces années, les merveilles de Dieu se sont multipliées. J’ai vécu et je vis des moments de profondes émotions. J’ai rencontré un nombre incalculable de personnes, un nombre incalculable de personnes sont venues dans mon bureau. J’ai rencontré des gens de tous pays. Du plus intime de mon cœur, j’ai touché de profondes souffrances, des maladies inexplicables, j’ai étreints dans mes mains des milliers de mains qui cherchaient un soutien, une aide. J’ai embrassé…, j’ai consolé…, j’ai pleuré…, j’ai prié et je me suis aussi réjouis pour les grâces accordées.
Ces grâces accordées, les merveilles de Dieu! La beauté des merveilles de Dieu, la Croix glorieuse qui sauve et sanctifie.
Chaque jour Jésus est à mon côté, à chaque instant ainsi que sa Mère, les anges, les saints, les créatures du paradis, les saintes petites âmes du purgatoire, cela, toujours quand Dieu le permet et le retient opportun.

Le ciel, dans toutes ses facettes
C’est exactement comme Jésus avait dit: «la vie après la vie». Le ciel s’est ouvert, le ciel est ouvert, et moi, par sa grâce, j’ai pu et je peux «voir», «écouter», témoigner.
Ma mission n’est toujours pas terminée. Avec encore plus d’insistance, le Seigneur me demande plus d’efforts. J’écoute sa voix, ses paroles, et maintenant, je désire les partager avec vous. Ecoutons et méditons ensemble les paroles éternelles qui arrivent dans nos cœurs de l’Eternel, pour moi, pour tous.
23 juillet 2014 à 15 h 30
«Ma Fille bien aimée, l’histoire des hommes est constellée de terribles événements causés par l’arrogance et la haine. Moi, Dieu, j’accorde à chaque homme la liberté d’agir.
Qui me choisit… et voilà l’amour, la paix… la voie de mes dix commandements; et qui choisit la voie du mal… de la désobéissance... Terribles, les conséquences, toute la création s’en ressent, bien que ce qui est saint reste saint. Terrible, les épreuves qu’ils devront ensuite affronter, parce qu’elles causent tellement de souffrances et de maux.
Moi, Dieu, j’observe avec tristesse. J’envoie sur terre mes troupes angéliques. La sainte Mère, la Toute Pure et Immaculée parle aux cœurs de ses créatures. Mon Jésus, avec le Saint Esprit qui nous unit, renouvelle son sublime et unique sacrifice d’amour sur chaque saint autel dans le monde.
Ma fille, ne crains pas, va où mon Esprit t’appelle, avec courage, avec force, par amour et avec amour. Ma chère messagère, porte aux hommes ma volonté, ma bénédiction.
Je suis Dieu, l’Unique, Suprême, Dieu de toutes choses, de toutes créatures, au Ciel, sur la terre et sous terre. Même l’enfer est sous mon regard.
Mère Marie, va, accompagne notre fille, ensemble, en mon nom, le monde verra ma puissance. Toujours et seulement puissance d’amour. Amen.»
Chers amis, je vais là où le Saint-Esprit de Dieu m’appelle, je porte dans le monde et parmi vous, frères et sœurs, la vérité de Dieu, sur la vie éternelle, avec sa bénédiction.
Les créatures qui quittent ce monde vivent… Nous aussi, nous vivrons…

Une transformation extraordinaire et inimaginable nous attend
Voilà ce que les belles créatures du paradis me racontent:
«La pensée devient pure, limpide, sans ombre, les cieux bleus de nos désirs purs restent bleus. Le corps n’est plus corps, mais esprit et reste corps. Il est léger, les souffrances, un souvenir, et dans le souvenir, la conscience de leur sens. Chaque «pourquoi» révèle une logique claire, réponse simple à chaque question, le mystère n’est plus mystère.»
Voilà ce que me disent les créatures de lumière du paradis:
«La joie pénètre, l’amour explose, comme enfants du Père. Le créé en nous, nous dans le créé; l’éternité éternelle pour chacun, pour tous, faire… dire… savoir… connaître… voir… écouter… aimer… faire par amour… aider celui qui est encore dans le besoin sur terre…»
Mes amis, et les familles?
Nos familles, la famille si aimée, tellement voulue par Dieu, même pour son Fils Unique Jésus, les familles, au nom de l’Amour, seront toutes réunies. Nous ne nous sommes pas perdus, nous ne nous perdons pas, nous serons tous réunis.
Comme Dieu aime la famille! Comme Marie aime sa famille, quel amour Jésus a reçu de sa famille, avec quelle responsabilité et conscience Joseph a aimé sa famille. Sainte et Sacrée Famille de Nazareth. Marie, Joseph ont vécu et vivent, ils sont vivants…
Jésus est ressuscité.
Les apôtres ont vécu et sont vivants, ils vivent…

Nos chers défunts sont vivants, nous vivrons avec eux dans l’éternité
Nous devons seulement choisir où nous voulons vivre: dans la lumière éternelle, où dans les ténèbres éternelles. Cela dépend de nous: choisir le Bien, le mal, la Lumière, les ténèbres, nous devons choisir.
Je vais témoigner tout cela, je ne peux m’arrêter, le Seigneur le demande et sa grâce est immense, parce qu’il ne le demande pas à moi seulement; il le demande à tous.
Nous tous, dans nos maisons, en famille, dans nos communautés, nos groupes, au travail, partout, nous devons témoigner avec une foi véridique, sincère, du saint Evangile.
Le Seigneur ne veut pas que notre foi soit tiède, sans cœur, ni d’une foi qui un moment s’éveille et puis, ce moment passé, tout redevient monotone. Une foi qui mets chaque chose en discussion, quelle tristesse!
Laissons voler notre esprit, laissons-nous prendre par le désir d’abandon.
Chers amis, encore d’autres paroles de Jésus, paroles profondes, pleines d’amour, qui doivent nous faire beaucoup réfléchir, paroles que personne ne devrait sous-estimer:
19 août 2014 15 h
«Ma chère fille bien aimée, ma Mère, la Sainte Vierge Marie a le cœur gonflé de douleurs. La paix dans le monde est en péril, la paix dans les cœurs est loin d’être la vraie paix.
Moi, Jésus, Fils de Dieu, moi, Homme des Douleurs et de la Souffrance, re-né des morts par volonté et dessein de Dieu mon Père, moi-même, en lui, je vis dans l’attente d’une sainte alliance entre les peuples et d’une paix vraie, durable, sincère, dans les cœurs.
Le Fils de Dieu a les bras grands ouverts sur le monde terre, terre turbulente de guerres fratricides, parce que vous êtes tous frères, nés, voulus, désirés, créés d’un unique Père, le Père qui est dans les Cieux.
C’est cela que tu dois dire, c’est pour cette mission que tu es choisie: apporter à tous la réalité de Dieu le Père et de la Vie de l’«après» celle votre petite vie.
Oui, petite vie… mais immense don, parce que après avoir eu la joie de devenir saints par vos mérites et par la miséricorde du Seigneur, votre Dieu, vous brillerez in eterno dans la vie éternelle.
Dieu est avec vous. Dieu est avec toi, ma fille bien-aimée.
Fille, il n’y a plus de temps, la guerre est en guet-apens. Prie pour la paix, priez pour la paix et le Cœur Immaculé de Marie apportera avec joie vos offrandes aux pieds du saint autel de Dieu. Amen.»
Oui, mes amis, prions pour la paix dans nos cœurs, la paix dans nos familles, prions pour la paix dans le monde.
Seigneur miséricordieux, non! La guerre, Non! Ça suffit, la guerre, même si malheureusement, en beaucoup d’endroits du monde la guerre est en cours et semble sans solutions.
Le Seigneur dit: «Terribles, les conséquences…!»

Prier…
Beaucoup me demandent comment prier. Ils me disent: «Je ne sais pas prier»
On peut prier de mille manières, de mille façons, en chantant, en lisant, en méditant à genoux, debout, en tous lieux, église, maison, partout.
Moi, j’ai une prière simple. La prière simple, c’est un dialogue, l’esprit tourné vers le Seigneur. Des paroles sincères qui montent du cœur. Tous, nous en sommes capables, exactement comme nous parlons entre nous. Nous devons nous sentir enfants; parlons avec notre Père comme Jésus, comme notre Mère. Les paroles sortent sans difficulté, sans frein, du plus intime de notre âme; de belles paroles, amoureuses, douloureuses, que Dieu lui-même suggère à notre cœur. La prière simple est l’oxygène de mon âme. Notre âme respire un air pur; à chaque instant, nous sommes unis au ciel, Jésus fait parti de notre famille, Dieu fait parti de notre vie, Dieu est notre vie.

Marie
Marie est la Mère, la maman des mamans, la maman des enfants, Marie nous embrasse, elle nous caresse, elle nous écoute, elle nous console, elle essuie nos larmes, et doucement, elle nous accompagne vers son fils Jésus.
Marie parle, elle se montre. Courrons vers elle. Réfugions-nous dans ses bras, confions-lui nos souffrances, nos douleurs, nos espérances et nos joies aussi.

Et les anges?
Vrais êtres de lumière, amis, amis sincères au-dessus de tout soupçon, ils ne mentent pas, ne nous trompent pas, ne sont pas jaloux. Ce sont de purs esprits qui veulent nous aider; ils veulent nous aider de toutes leurs forces et de toute leur puissance. Ils nous protègent. Ce sont des intercesseurs. Moi je les appelle nos «facteurs» célestes. Parlons avec eux, cherchons-les.
Où sont-ils? Où sont-ils tous?
Ils sont là, près de nous, toujours. Moi je les vois par grâce de Dieu.
Le ciel n’est pas loin, il n’est pas «là-haut»! Un jour, mon ange principal m’a dit: «Dis à tous, Mirella, dis à tous que vous êtes entouré d’un monde étincelant de lumière, de couleurs, de parfums; dis-le à tous.»
Très chers amis, pour nous, Chrétiens, le mois de novembre est un mois particulier. Au mois de novembre les cimetières chrétiens, ou le «saint champs», comme le disent les anges, se remplissent particulièrement de fleurs, de souvenirs, de larmes. C’est vrai, l’amour fait pleurer, le souvenir fait pleurer, les cœurs se remplissent de nostalgie. La nostalgie est amour et malheureusement aussi, quelquefois regrets.
Mon ange principal m’a dit – et je l’ai vu – que chaque saint champ en n’importe quel lieu perdu du monde est protégé par quatre anges immenses. Ces anges disent qu’ils sont «les gardiens des corps dormants.»

Et eux, nos chers parents?
Ils sont là, à côté de nous, ils nous voient, ils comprennent, mais ils ne peuvent souffrir pour nos souffrances, parce que, au paradis, personne ne peut plus souffrir.
Ils savent déjà qu’il n’y a aucune souffrance qui ensuite, ne soit rétribuée, récompensée, oubliée.
Eux, ils connaissent la valeur, presque la nécessité indispensable de la douleur offerte, de la souffrance, des épreuves permises par Dieu, parce qu’ils savent parfaitement que c’est uniquement par la douleur, dans les épreuves, qu’on peut mesurer l’amour, la foi. C’est seulement dans les moments de difficultés que nous tous pouvons apprendre à aimer Dieu plus que tout.
Comme les saints, nous aussi nous pouvons devenir saints, bien plus, nous devons devenir saints, parce que c’est l’unique but pour lequel nous sommes nés.
Nos chers parents, mais pas seulement, tous ceux qui ont vécu sur la terre nous sont proches.

Créatures oubliées
Hommes, femmes qui ont fait l’histoire du monde. Soldats qui ont combattus pour nous donner la liberté, jeunes qui ont donné leur vie en combattant pour et avec l’espérance d’un monde meilleur; hommes convaincus d’être puissants, qui par leur arrogance ont apporté d’énormes désastres et se sont tachés de crimes horribles; hommes sans aucun pouvoir, mais hommes justes, humbles, qui avec beaucoup de sueur et au travail de leur bras ont élevé une famille; mamans, femmes fatiguées qui ont enseigné la prière à leurs enfants et transmis la foi. Hommes extraordinaires, femmes extraordinaires, nos ancêtres, nos générations passées.
Hommes, femmes, enfants, tant d’enfants, conçus, mais jamais nés, parce que quelqu’un a décidé pour eux, quelqu’un leur a nié le don de la vie sur terre, ce don que Dieu avait voulu.
Enfants oubliés, sans même être considéré comme êtres vivants. «J’avais quelques semaines, quelques mois à peine…» ensuite rien, personne. Enfants sans nom, sans identité, rien, personne, sans baptême.
Quand Dieu le permet, je les vois, ils sont vivants; quelquesfois je les vois accompagnés de leurs anges gardiens!
Toujours, j’en fait mémoire, à chaque sainte Messe, une prière.
Je rappelle aussi toujours mes ancêtres.
Nous devons beaucoup à nos ancêtres, à tous ceux qui ont vécu sur la terre avant nous, parce que nous sommes le fruit de tant de générations et ces personnes sont nos très nombreux «parents» et nos très nombreux maîtres, nos très nombreux frères.

La grandeur de Dieu!
Qu’il est grand, Dieu, très chers amis, mais combien est grand son amour! Comme Dieu est clairvoyant dans sa miséricorde, et comme est grande la Création!
Dieu nous aime d’un amour si parfait qu’il est humainement impossible de comprendre. Aucun esprit humain ne peut contenir la plénitude de Dieu, sa pureté. Celui qui est depuis toujours et pour toujours. Son amour est parfait en toute circonstance, il nous aime, même quand nous l’ignorons, même quand nous nous ne l’aimons pas, même quand nous ne le méritons pas, quand nous l’oublions, même quand, irrités, nous pensons qu’il ne nous écoute pas et pire encore, quand nous pensons qu’il n’existe pas!
Mais il y a une chose que nous ne pouvons et ne devons pas oublier: sa Justice. Sainte justice, mais justice. Oui, Dieu est miséricorde, mais dans sa miséricorde, il est juste, il est parfait.
Son amour, l’amour de Dieu n’a rien de comparable avec notre petit «aimer» égoïste.

Le purgatoire
Dieu nous aime à tel point qu’après avoir quitté la terre, imparfaits, recouverts de tant de poussière, de tant d’imparfaite humanité, il a pensé à «une période de purification, une période de convalescence».
J’adore la pensée de Dieu. Sa pensée m’émeut. Chers amis, il n’y a rien de plus émouvant de plus profondément pitoyable que le purgatoire.
Encore, encore et encore plus profond et compatissant est l’amour de Dieu sans fin. Il vient aussi «après» à notre aide et sa miséricorde veut aussi nous emmener à côté de lui «après».
Quel Père saint est notre Père qui est aux cieux!
Quand Dieu le permet, les saintes âmes du purgatoire se montrent, je les vois et je comprends. Elles demandent pardon, elles veulent pardonner, elles veulent aimer…
Il y a des troupes comme celles que le Seigneur a voulu me montrer devant des sanctuaires mariaux, tandis que je me trouvais en ces lieux saint pour des conférences. A Lourdes, Fatima, à Notre-Dame du Laus, et tant d’autres lieux où l’on vénère la Sainte Vierge.

Une vision impressionnante:
Tous en file indienne, l’un derrière l’autre; je ne saisis pas si ce sont des hommes ou des femmes, ils n’ont pas d’identité, ils sont nus, très maigres, sans cheveux, la peau jaunasse recouvre un squelette, ils marchent vite, penchés, les mains jointes sur la poitrine, ils arrivent devant la porte de la basilique et disparaissent.
Je ne savais pas, je ne comprenais pas pourquoi ils étaient si maigres, nus. Habituellement je vois des personnes vêtues, même les saintes âmes du purgatoire sont vêtues; mais, celles-ci! Très impressionnantes…
Un dimanche matin, tandis que j’assistais à la sainte Messe, sans que je demande rien et sans même penser à ces créatures, le Seigneur me dit: «Ce sont des âmes qui durant leur vie sur la terre ne se sont pas nourris de la sainte Eucharistie…, âmes dénutries...»
Instinctivement, et avec beaucoup de commisération, je les ai appelées «âmes anorexiques».
Voilà, les amis, voilà la pitié, pour eux et pour nous.
Il n’y a rien de plus grand, de plus intrigant, rien de plus fascinant que le monde de l’Esprit; nous sommes tous unis, ciel et terre; un, «ensemble», qui doit nous remplir de joie, nous conduire à ne pas avoir peur, à ouvrir cette fenêtre de notre cœur qui nous fait voir le bleu des cieux et répandre sur la terre le plus d’amour possible.
La sainte Eucharistie, nourriture de l’âme; la prière, l’oxygène de l’âme…
Infiniment grande, la miséricorde de Dieu est sans fin, j’en suis témoin.
Chers amis, je poursuivrai cette mission avec grand amour et bonne volonté tant que le Seigneur le voudra. Je vais là où il m’appelle, dans le monde; les voyages sont très longs, grande est la fatigue et importante la responsabilité, mais peu importe.
Je vous demande de m’aider de votre prière et de votre amitié. Merci. Que Dieu vous bénisse tous, Mirella, la petite écolière de Jésus, et aussi votre amie.

Mirella Pizzioli